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« Ce livre là – Mon dernier testament – Ma dernière bataille. »


« Ce livre là – Mon dernier testament – Ma dernière bataille. »

Tu sais ma chérie

J'aurais préféré vivre

Nos beaux et tendres désirs

Que d'écrire

Notre amour, dans ce livre

Même s'il est plein de douces poésies

Avec pour moi, de belles insomnies

Cela n'effacera pas, nos désillusions

Nos cœurs meurtris pour d'amères passions.

Aujourd'hui, moi je saigne sur le papier

Toi, dans ton coin, tu ne fais que pleurer

Nous voulions tellement croire à notre amour

Qu'aujourd'hui nous sommes seuls isolés dans nos tours

Les poèmes que j'écris

Aujourd'hui, ne sont plus que des souvenirs

Avec le temps, chacun de notre côté

Ils finiront par mourir

Même s'ils restent à jamais gravés

Sur ce papier.

Tu m'as tellement ému, touché

Et déçu à la fois

Que ce livre-là

Finira par être mon dernier testament

Tu étais, il est vrai, mon dernier amour

Ma dernière bataille

Je sais que ce livre là

Je ne l'emporterai pas au firmament

Ce livre là sera

Pour moi

Mon dernier souffle

Inscrit sur ta bouche

Pour toute destinée

Pour mon prochain décès

A petit feu et lentement

Tu pourras y inscrire nos vœux

Tels des nuages d'encens

C'est ma vie qui l'emportera

Avec sont baisés de mort

E il y a longtemps déjà

Qu'elle s'est penchée sur mon sort.

« Tu es tout le mâle que je me suis souhaité d'être. » - « Et que je vais devenir, maintenant » - Jeff Bergey.

« Je crois que c'est la pire mort que je connaisse de ma triste vie avec l'être aimée. Pourtant il est dit que la distance ne connait pas les frontières. La seule qui peu la franchir, c'est la volonté de l'autre. L'amour n'est jamais bien partagé. » - Jeff Bergey.

« Les monstres, les fantômes sont parmi nous, ils vivent en nous et sont biens réels, et parfois...Ils sont les vainqueurs. » - Jeff Bergey.

« Il y a des personnes qui te lisent comme un livre ouvert, qui t'écrivent comme un livre blanc, qui perdent le signet, qui voulaient te lire, mais les émotions n'étaient pas en solde, qui ton déballé et placé sur une étagère, qui t'on amené à la maison et mis à la bibliothèque. Peut être qu'un jour quelqu'un te lira sérieusement, de la couverture à la dernière page et te gardera avec lui comme le cadeau le plus précieux. » - Franscesco P. Ettari.

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